La qualité de vie au travail au cœur de la RSE

La qualité de vie au travail au cœur de la RSE

La qualité de vie au travail est devenue un sujet essentiel dans les départements des ressources humaines. Toutefois, il s’agit d’un concept complexe qui n’est pas toujours facile à cerner ni à intégrer. Pourtant, depuis quelques années, l’humain occupe une place de plus en plus centrale dans nos sociétés. Il est par conséquent logique pour les entreprises de s’intéresser à la place des hommes et des femmes dans leur organisation.

 Selon les dernières tendances, la mise en place d’une vision et d’une stratégie de QVT apporterait de nombreux bénéfices. On peut également parler d’opportunité de développement et de performance intéressante grâce au bien être des collaborateurs.

Mais comment passer de la théorie à la pratique ?

Qualité de vie au travail : De quoi parle-t-on ?

 

Une démarche QVT est tout d’abord un projet collectif d’entreprise ! Il a pour objectif d’améliorer la qualité de vie des différents acteurs de l’organisation. Ce sentiment de bien-être au travail recherché par la mise en place de la QVT dépend donc de plusieurs facteurs tels que l’organisation, la culture d’entreprise, les relations, le développement et la conciliation des temps personnels et professionnels !

Elle est reconnue comme un enjeu stratégique par l’Accord national interprofessionnel de 2013 et défini comme étant :

« Les conditions dans lesquelles les salariés exercent leur travail, et leur capacité à s’exprimer et à agir sur le contenu de celui-ci, déterminant la perception de la qualité de vie au travail qui en résulte »

Autrement dit, la qualité de vie au travail est définie comme l’ensemble des facteurs qui ont une incidence sur l’expérience de travail des employés. Il s’agit d’une innovation qui répond aux objectifs de satisfaction des salariés et d’amélioration des conditions de travail.

L’individu est placé au cœur de cette définition car sa qualité de vie au travail est influencée par un grand nombre de facteurs tels que :

 

  • Qualité de l’engagement à tous les niveaux de l’entreprise
  • Qualité de l’environnement physique
  • Qualité de l’information partagée au sein de l’entreprise
  • Qualité du contenu de travail
  • Qualité des relations sociales et de travail
  • Qualité de l’organisation du travail
  • Possibilité de concilier vie professionnelle et personnelle
  • Possibilité de développement personnel

Une démarche collective

 

L’approche QVT ne peut pas être considérée comme isolée des projets de l’entreprise. En revanche, elle est source de réflexion pour les différents projets et processus en cours. Plus qu’une « nouvelle » approche, il s’agit d’une cohérence à mettre dans les actions déjà entreprises en mettant l’accent sur l’expression et la participation de vos employés.

Un gain de 10 à 12 % de productivité est perçue pour les employés heureux au travail d’après cadremploi.

La qualité de vie au travail devient donc une démarche d’entreprise collective. Sa mise en place répond à divers enjeux majeurs, notamment dans les secteurs de :

  • L’engagement des salariés
  • La santé et la sécurité au travail
  • La transformation digitale
  • La fidélisation des collaborateurs
  • L’amélioration des conditions de travail

Cette approche globale et stratégique de l’entreprise vise à analyser des situations de travail réelles pour les améliorer.

La qualité de vie au travail : un vecteur de performance

Les entreprises qui ont choisi de mettre l’humain au centre de leur stratégie peuvent constater que cela constitue un puissant levier d’innovation, d’engagement et de performance ! En effet, seulement 6% des employés sont engagés dans le travail (source : myhappyjob) . Cependant, plus nous créons un environnement de « bien-être » reposant sur le dialogue, le respect, la confiance et l’écoute, plus les employés sont fidèles et défendent leur entreprise.

La QVT n’enferme pas la performance dans une vision seulement quantitative ou productiviste. Elle l’inscrit dans une démarche positive et durable, liée à des objectifs d’ordre social et humain, tendant vers des effets économiques à long terme.

Dépenser un euro de son capital dans la QVT apporte treize euros de bénéfices à la société. Ainsi, la qualité de vie entraine une dynamique gagnant-gagnant et parce qu’elle permet une meilleure efficacité en continu, elle bénéficiera aussi à l’employeur.

De nombreuses études s’attachent à montrer qu’un lien étroit existe entre qualité de vie au travail et performance et sont souvent mis en lumière par les organismes de formation et les associations (cegos, terra nova…)

Autrement dit, en incluant la QVT dans votre entreprise, vous ne répondrez qu’à un objectif : développer le travail comme source d’épanouissement et de bonne santé pour en faire un levier de compétitivité.

« La qualité et l’innovation sont liées et mutuellement bénéfiques » Armand V. Feigenbaum

La QVT chez Retail Shake

 

Chez Retail Shake, placer l’humain au cœur de l’entreprise pour construire un avenir épanouissant et durable est une réelle vision d’entreprise. Nous ne considérons pas cette dernière comme un idéal, mais bel et bien comme un réel retour sur investissement. Il s’agit d’un projet collectif d’entreprise. Nous avons choisi de proposer à nos collaborateurs un cadre de travail ou l’épanouissement et le bien-être sont une norme. Nous sommes certains qu’un travailleur heureux est un travailleur plus efficace que quelqu’un qui sera stressé par son environnement. Chez Retail Shake, on se laisse le droit à l’erreur pour mieux progresser après. On choisit aussi de travailler ensemble afin de comprendre les métiers de chacun, d’améliorer les échanges et d’optimiser le temps de travail. Les bureaux sont aménagés afin que chacun s’y sente comme chez soi, de nombreuses activités d’équipe sont organisées dans le but de garder une bonne cohésion. Nous prenons aussi soin de nous récompenser à chaque défi réussi.  C’est le bonheur de nos collaborateurs qui fait la réussite de Retail Shake !

Distribution numérique et distribution de valeur : les KPI’s majeur de la grande consommation

Distribution numérique et distribution de valeur : les KPI’s majeur de la grande consommation

L’intérêt de ces deux indicateurs dans l’analyse de la performance commerciale

 

Utiliser un KPI comme la distribution numérique ou la distribution de valeur ne présente en réalité que peu d’intérêt s’ils ne sont pas combinés. Ils permettent à eux deux de connaitre la couverture d’un produit dans un circuit de distribution, et donc de savoir si un produit est suffisamment proposé aux consommateurs pour réaliser des ventes satisfaisantes.

Lorsque la DN est supérieure à la DV, cela signifie que le produit est disponible dans un grand nombre de points de ventes, mais majoritairement dans des magasins de petite taille, ou de faible importance. Dans la situation inverse, le produit n’est accessible que dans une faible proportion de points de ventes, mais ceux-ci représentent une part assez importante des ventes totales. De manière générale, c’est ce deuxième cas de figure qu’une entreprise va chercher à avoir. Si un bon rapport permet entre DN et DV est important pour connaitre la qualité du référencement produit, il est également intéressant pour planifier sa stratégie marketing. Par exemple, l’entreprise risque de gaspiller de l’argent si elle choisit de lancer sa communication à un moment où le produit n’est pas encore assez disponible pour les consommateurs. En outre, connaitre la DN et la DV de son produit se révèle indispensable pour prendre des mesures correctives concernant sa distribution.

Retail Shake, votre outil de veille concurrentielle

 

Un des problèmes qu’ont les entreprises pour le calcul de la distribution numérique et de la distribution de valeur est le manque d’informations actualisées et pertinentes sur les points de ventes. Avec Retail Shake, vous avez accès aux données en temps réel de milliers de magasins répartis sur toute la France. Vous pouvez ainsi suivre le déploiement et la disponibilité de vos produits ou de ceux de vos concurrents sans craindre la non-fiabilité des informations reçues. Grâce à la carte interactive, vous pouvez sélectionner l’enseigne de votre choix et parcourir ses différents points de vente, quels sont ceux qui proposent tel produit, quels sont les stocks disponibles, le tout en seulement quelques minutes. Vous disposez également de filtres pour sélectionner les enseignes qui vous intéressent selon les critères que vous avez fixés.

Si vous souhaitez en savoir plus sur la distribution numérique et de valeur. Découvrez nos 2 articles sur ce sujet : 

Soldes : Notre outil pour effectuer votre veille tarifaire ?

Soldes : Notre outil pour effectuer votre veille tarifaire ?

La période des soldes est l’occasion pour bon nombre de commerçants de se distinguer de leurs concurrents. En parallèle, l’inflation galopante amène les consommateurs à prioriser de plus en plus le prix dans leur logique d’achat. Afin de garantir de bons résultats commerciaux, les entreprises ont tout intérêt à analyser de manière précise et complète les prix pratiqués dans leur secteur.

 

Se positionner de manière cohérente sur le marché

 

Chaque entreprise doit choisir son positionnement sur les gammes de produits qu’elle propose, notamment en matière de prix. Une entreprise considérée comme haut de gamme par les consommateurs ne peut pas changer de positionnement du jour au lendemain, en raison de son image de marque et de la relation de confiance qu’elle a lié avec ses clients. Les soldes ne font pas exception à la règle, et le choix des réductions va dépendre particulièrement des décisions prises par les autres entreprises afin de garder une cohérence dans sa politique de prix. Cela inclut évidemment la réduction pratiquée, mais aussi la période durant laquelle la réduction sera appliquée : celle-ci va-t-elle évoluer avec le temps ? Sera-t-elle différente d’un distributeur à l’autre ? Autant de questions qui trouveront réponse grâce à la veille tarifaire.

 

Optimiser ses marges

 

Si les soldes permettent parfois aux commerces de réaliser une grosse partie de leur chiffre d’affaires annuel, c’est, entre autres choses, en raison d’une stratégie soigneusement préparée en amont. L’objectif est de proposer des réductions suffisamment intéressantes pour attirer le consommateur tout en obtenant une marge aussi élevée que possible sur chaque produit. Une entreprise ne peut donc pas se permettre de baisser ses tarifs pour rien avec des réductions allant bien au-delà du seuil d’approbation du client. Une entreprise va grandement bénéficier d’une surveillance prix en temps réel pour satisfaire cet objectif.

 

Améliorer son référencement

 

Les consommateurs ont aujourd’hui accès à une offre bien plus large que jamais auparavant. Afin de choisir le produit au meilleur rapport qualité/prix durant les soldes, il est aujourd’hui courant de voir des comparateurs de prix, et ce, dans tous les domaines d’activité. Ces comparateurs utilisent de nombreux critères, dont le prix, pour placer les différents produits dans leur liste. La surveillance prix permet de décider de son positionnement sur ce genre de classements en s’alignant sur les prix pratiqués par les concurrents. Cette publicité gratuite permet de gagner des parts de marché tout en faisant croitre sa notoriété.

 

Observer ses concurrents

 

En période de soldes, il est primordial de connaître les prix de ses concurrents, afin de ne pas perdre de ventes. Et d’adapter ses prix en fonction d’eux également.

Réussir ses soldes avec Retail Shake

 

Retail Shake accompagne les entreprises de tous les secteurs dans leur surveillance prix. Notre outil s’appuie sur une base de données actualisée en permanence comprenant des milliers de marques et de distributeurs, garantissant un résultat complet et conforme à la réalité du marché. L’outil de veille permet de rester constamment informé des évolutions de tarif des concurrents. Retail Shake est un outil précieux pour accompagner la prise de décision marketing en période de soldes.

 

Soldes : Toujours un enjeu économique pour les retailers ?

Soldes : Toujours un enjeu économique pour les retailers ?

Est-ce que les soldes ont encore un impact économique ?

Les commerçants se sont longtemps appuyés sur les périodes de soldes pour consolider leur chiffre d’affaires et écouler leurs stocks annuels. La période épidémique ayant bousculé les habitudes de consommation, ces périodes autrefois cruciales ont logiquement baissé en intérêt ces dernières années. Cela signifie-t-il pour autant que les soldes n’ont plus aucun d’intérêt ?

 

De nouvelles priorités d’achat

 

Face à la montée galopante de l’inflation, les consommateurs choisissent de réorienter davantage leurs achats vers les biens de première nécessité, comme l’alimentation et les équipements domestiques. C’est le constat qui ressort des derniers chiffres liés aux soldes d’été 2022. La fréquentation des magasins a diminué de 28 % en comparaison des dernières soldes en date non touchées par la Covid, celle de 2019. Si les résultats sont bien évidemment plus enthousiasmants que ceux de la période pandémique, ils n’ont malgré tout pas retrouvé véritablement la dynamique d’il y a quelques années. En parallèle, le chiffre d’affaires de l’alimentation spécialisée a continué d’augmenter sans interruption. L’inflation constatée depuis un an ne semblant pas s’arrêter, il est logique de s’attendre à ce que les Français gardent ces nouvelles habitudes à moyen, voire long terme.

 

Une période de moins en moins exceptionnelle

Si les soldes sont longtemps resté une période incontournable pour faire ses achats, c’est notamment en raison de la rareté de ces évènements qui ne se produisent que deux fois dans l’année. Mais la popularisation du Black Friday, du Cyber Monday ainsi que les promotions régulières en ligne ont rebattu les cartes. Le client peut désormais rechercher les prix bas tout au long de l’année sur les principales plateformes de vente. Avec une progression de 68% en l’espace de 3 ans, l’e-commerce ne cesse de gagner en intérêt aux yeux des consommateurs. Les réseaux sociaux comme Youtube ou Tiktok sont également devenus des nouveaux canaux d’achat, particulièrement auprès des jeunes (18-30 ans). Ce qui est aujourd’hui appelé le “commerce social” devient un nouveau terrain sur lequel les entreprises s’implantent de plus en plus. La valorisation de l’achat en ligne ne rattrape pas encore la baisse de fréquentation des magasins physiques.

Vers une consommation plus responsable des nouvelles générations

Les enjeux sociaux et environnementaux ont largement sensibilisé les individus, notamment les plus jeunes, à des formes de consommation plus éthiques. 79 % des 18-24 ans ont indiqué vouloir se tourner vers des produits plus durables et de meilleure qualité. Cette position n’est toutefois pas incompatible avec l’achat spontané, qui reste en vogue : les trois quarts des moins de 35 ans désirent réserver au moins un achat de plaisir par mois.

En somme, bien que les soldes n’aient plus l’impact qu’elles avaient auparavant, elles gardent un certain intérêt, particulièrement auprès des générations Y et Z, dont les revenus sont moindres et qui souhaitent acheter des biens de confort à bas prix. Certains secteurs, comme l’habillement féminin, sont plus touchés que d’autres, et les entreprises ont besoin de données précises sur l’évolution de leur secteur pour adopter les meilleures décisions commerciales.

 

Retail Shake, l’outil de référence pour sa veille tarifaire

Retail Shake - Outil de veille concurrentielle le plus complet

La veille tarifaire est nécessaire pour étudier les performances de ses concurrents en période de promotions. Lorsqu’elle est régulière, une veille tarifaire permet d’avoir une longueur d’avance sur ses concurrents grâce à une meilleure compréhension des comportements des consommateurs. Retail Shake utilise une base de données complète permettant d’analyser en temps réel les résultats des entreprises secteur par secteur, et dispose de nombreux outils de classification (catégories d’âge, budget moyen, etc.).

Si vous souhaitez en savoir plus sur la veille tarifaire. Découvrez nos 2 articles sur ce sujet : 

Black Friday : la directive Omnibus met-elle fin aux promotions ?

Black Friday : la directive Omnibus met-elle fin aux promotions ?

Le Black Friday est un rendez-vous incontournable du retail et des sites de ventes en ligne. Depuis les années 50, son succès ne cesse d’augmenter, devenu mondial notamment grâce à internet.

Quels enjeux durant le Black Friday ?

Certaines enseignes et marques réalisent une bonne partie de leur chiffre d’affaires annuel lors de cette période, prolongeant parfois de plusieurs jours les offres commerciales jusqu’au Cyber Monday par exemple. Il arrive aussi fréquemment que le Black Friday soit précédé d’une semaine d’affaires de toutes les couleurs promotionnelles imaginables. D’autres enseignes, au contraire, décident de ne pas suivre ce mouvement pour affirmer un positionnement « anti-gaspillage ».

Une période de forte veille concurrentielle

Quelle que soit la position choisie, c’est une période de forte observation de ses concurrents. La veille concurrentielle est renforcée par les enjeux et l’augmentation temporaire du dynamisme commercial. Sur cet échiquier déjà très tendu, une pièce maîtresse vient jouer les trouble-fête : la directive Omnibus.

 

La directive Omnibus, c’est quoi ?

Depuis le 28 mai 2022, de nouvelles règles de protection du consommateur sont venues complexifier les pratiques commerciales (et la veille concurrentielle). La législation applicable aux professionnels a été renforcée avec la transposition en droit français (loi d’habilitation DADDUE du 3 décembre 2020 et ordonnance 2021-1734) de la directive Omnibus (directive 2019/2161 du 27 octobre 2019). Elle précise et durcit de nombreux points du parcours d’achat en ligne. Les pratiques commerciales déloyales sont explicitées et les sanctions couvrent à la fois le territoire français et toute l’Union Européenne. L’une de ces règles nous intéresse particulièrement aujourd’hui : elle concerne le prix barré.

 

Que dit la directive Omnibus sur les prix barrés ?

Désormais, toutes réductions de prix (et particulièrement durant le Black Friday) devront faire mention « du prix barré pratiqué avant l’application de la réduction ». Le prix le plus bas pratiqué durant les 30 jours précédent la remise devient le prix de référence, le prix barré. Si d’autres réductions sont appliquées successivement, le prix barré reste identique. La directive précise même qu’il doit s’agir du prix barré pratiqué par l’enseigne elle-même et non pas un prix de référence observé chez les concurrents.

 

La directive Omnibus met-elle fin aux promotions ?

Cette directive du printemps 2022 vient compléter un contenu juridique déjà très étoffé. La protection du consommateur sur les sites de vente en ligne est au cœur de la volonté du législateur. L’ensemble des règlementations en vigueur est un cadre complexe qu’il est d’autant plus important de maîtriser que les sanctions peuvent atteindre 2 ans de prison.

Cependant, le contexte économique encourage les pratiques commerciales. Les consommateurs sont très en demande de remises. Le prix reste le premier critère d’achat et il est primordial pour les enseignes comme pour les marques de répondre à cette demande si l’on souhaite avoir une offre concurrentielle. Il existe également de nouvelles offres pour se différencier. Elles semblent porteuses et il est intéressant de s’y pencher. Faisons un rapide tour des pratiques commerciales actuelles.

 

Quelles sont les pratiques commerciales du Black Friday ?

 

La créativité ne manque pas ces dernières années pour amener les consommateurs sur les sites de vente en ligne un mois avant Noël. Nous avons observé, pour vous, certaines pratiques et également des erreurs à ne pas commettre.

 

D’abord, la traditionnelle remise.

Qu’elle s’exprime en pourcentage, promotion exceptionnelle, remise, réduction, produit gratuit, prix cassé, prix barré, bon d’achat… le nerf de la guerre reste incontestablement la réduction. Il est souvent nécessaire de proposer le meilleur prix du marché pour s’assurer une bonne journée de vente car les internautes prennent le temps de comparer.

 

 Les points fidélité et les services en plus.

Autre levier efficace pour faire venir ses clients, l’augmentation des points fidélité. Cela permet d’offrir une remise indirecte à ses clients fidèles, ce qui consolide, en général, les ventes de Noël un mois plus tard. Dans le même genre, le service offert est également une pratique appréciée par les acheteurs : 5 ans de garantie offerts, la première révision comprise, le rachat de l’ancien produit… Ici, il est parfois plus difficile de connaître les offres des concurrents lors d’une veille tarifaire classique. Il faut un scraping de données plus sophistiqué qu’une simple veille tarifaire. Pourtant, il est primordial d’avoir cette information car elle peut faire la différence sur les ventes.

 

Le Green Friday

Plus récemment, nous avons vu émerger des sites de ventes en ligne qui prenaient le contrepied de ce vaste déchainement d’offres. Si afficher une consommation responsable ne permet sans doute pas de déclencher une déferlante de vente le jour du vendredi noir, il n’en reste pas moins vrai que cela participe de l’image de l’enseigne et de son chiffre d’affaires annuel. Cela a pu se vérifier par le passé, quand des enseignes se sont distinguées en pratiquant un Black Friday responsable. Mais aujourd’hui, il est beaucoup plus difficile de se faire remarquer par cette pratique beaucoup plus répandue, alors il faut toujours inventer pour créer la différence. Et pour cela il est nécessaire d’avoir une veille concurrentielle 360°.

 

Bleu Blanc Rouge Friday

Forte tendance ces dernières années, cette initiative permet de valoriser les produits français. Elle affiche un double sens : une réaction à une pratique commerciale nous venant d’outre atlantique mais aussi une valorisation du local dans la veine du Green Friday.

 

Le vendredi solidaire

Les initiatives solidaires font également partie des pratiques que nous avons pu observer en réponse au Black Friday. Une partie des ventes de la journée est, par exemple, reversée à une association. Cela permet de sensibiliser à des causes, d’associer sa marque ou son enseigne à un combat vertueux et de fidéliser les clients sensibles à ces arguments (et ils sont de plus en plus nombreux).

 

 

Quelques erreurs à éviter durant le Black Friday

 

  • Augmenter artificiellement le prix d’un produit quelques jours avant, afin d’afficher une remise importante.
  • Déclarer faussement qu’un produit est disponible durant une période limitée.
  • Faire croire qu’une offre est liée au Black Friday alors qu’elle sera valable ensuite.
  • Assimiler le Black Friday à des soldes.
  • Vendre à perte.
  • Oublier de traduire le terme Black Friday* dans les communications. *Vendredi noir.
  • Ne pas respecter le droit de rétractation de 14 jours du consommateur.

 

Et pour bien se préparer au Black Friday, consultez également notre article sur les 7 tips pour booster vos ventes.

 Bien plus qu’une veille tarifaire, une veille 360°

Nous l’avons vu, le Black Friday est aujourd’hui bien plus qu’une journée de surenchères des prix. Les stratégies commerciales des enseignes comme des marques sont désormais plus complexes et inventives. Une veille tarifaire est nécessaire mais plus que cela, il faut aussi observer les opérations détournées, les avis des consommateurs tout en gardant un œil sur les stocks. 

 

 Une veille concurrentielle pertinente

Avec Retail Shake, de nombreuses fonctionnalités permettent d’ajuster sa veille concurrentielle selon ses besoins. On peut sélectionner les filtres pour remonter des datas plus pertinentes, le prix, les stocks, les avis, par types d’enseigne, secteurs d’activité, et zones géographiques…. Retail shake informe également du positionnement sur le marché et de l’historique de la veille tarifaire sur la période désirée.

 

Un outil ergonomique de veille

Retail Shake est une véritable solution de veille tarifaire et concurrentielle 360°, qui permet en quelques clics d’effectuer une recherche pertinente et clairement lisible sur un tableau ergonomique.

La différenciation tarifaire : quels enjeux pour les professionnels ?

La différenciation tarifaire : quels enjeux pour les professionnels ?

La pratique de la différenciation tarifaire est très largement encadrée en France, amenant la plupart des entreprises à conserver une politique de prix unique. Pourtant, la personnalisation du prix des produits peut être un atout majeur pour gagner des parts de marché face à la concurrence.

La différenciation tarifaire : fonctionnement et avantages

 

La différenciation tarifaire correspond à l’application de prix différents pour un seul et même produit ou service en fonction de la catégorie à laquelle appartient l’acheteur. Cette différenciation s’effectue généralement de deux manières différentes, pour ne pas dire opposées : soit l’entreprise crée des catégories de personnes et fixe un montant pour chacune d’entre elles, soit le client opte de lui-même pour l’une des multiples offres proposées pour un seul et même produit. Dans la première situation, la différence de tarif est imposé, alors que dans la deuxième celle-ci est choisie délibérément par le consommateur.

 

Dans une logique de prix unique, les consommateurs vont logiquement se positionner en tant qu’acheteurs ou non. S’ils achètent, cela signifie que le montant est inférieur ou égal au montant maximum qu’ils consentaient à payer. À l’inverse, le refus de passer à l’achat indique que le prix est trop élevé pour la satisfaction que le client pense obtenir du produit en question.

 

La différenciation tarifaire peut ainsi satisfaire deux objectifs : d’une part, en augmentant le prix auprès de ceux qui étaient déjà prêts à acheter le produit, et d’autre part en incitant ceux qui étaient réticents à passer à l’acte d’achat en ajustant le montant à leurs exigences. De cette manière, l’entreprise augmente à la fois son volume de ventes et son chiffre d’affaires sans faire de concessions.

Les clés d’une différenciation tarifaire réussie

 

Le succès d’une politique de différenciation des tarifs va dépendre avant tout de la bonne compréhension du comportement des consommateurs. Si l’entreprise décide de créer une variété d’offres, un travail de veille tarifaire doit être effectué en amont sur les préférences des consommateurs au sujet des fonctionnalités, de la quantité et des services attendus pour cette catégorie de produits. L’objectif est ici de créer des offres adaptées à tous, quels que soient leur budget et leurs attentes.

 

Si l’entreprise choisit de fixer une différenciation tarifaire par catégorie, les critères de classification vont là aussi avoir toute leur importance. Quels sont les groupes les plus sensibles à la baisse, ou au contraire à l’augmentation du tarif ? Ces catégories peuvent être bien souvent associées à l’âge (seniors) ou à la catégorie sociale (étudiants) des consommateurs. Cette classification peut également être géographique, dans l’éventualité où un produit est plus populaire dans une région spécifique par exemple. Certains secteurs d’activité vont également pratiquer des tarifs différents selon la saison, ou même le lieu de distribution (prix moins chers chez le fabricant). Là encore, la veille tarifaire a toute son importance pour dresser les profils types des consommateurs et les tarifs qui vont les pousser à acheter.

 

Retail Shake, votre outil de veille tarifaire de référence

Comprendre en détail les stratégies de ses concurrents et les réactions des consommateurs est essentiel pour garantir la pertinence de sa veille tarifaire. Retail Shake fournit toutes les informations dont les entreprises ont besoin pour une veille tarifaire complète : historique des prix, progression des ventes par catégorie de clients… Les informations sont constamment actualisées afin que les entreprises puissent prendre des décisions rapidement et adaptées à la situation économique du marché. Retail Shake garantit une différenciation tarifaire de qualité pour se distinguer de la concurrence.